Description
Smoke Test et Grow Report
Introduction
Shark Attack est de petite taille, mais reste un voyou, et sa morsure pourrait assommer même l’utilisateur le plus expérimenté. Cette variété, issue des croisements d’une Super Skunk et d’une White Widow, se transforme en une plante de cannabis épaisse et compacte à l’aspect Indica avec une apparence dense et trapue, parfaite pour les cultivateurs en intérieur ou les amateurs de discrétion. Son taux supérieur de THC la rend l’une des souches préférées pour se détendre. Ne laissez pas sa taille vous induire en erreur ! Cette plante est un véritable monstre-producteur.
Goût
L’arôme de Shark Attack est celui du citron et donne la sensation d’un air fleuri. Une caractéristique qui a fait de Shark Attack une variété légendaire est son taux de THC élevé, ainsi que son puissant effet Indica, qui est par ailleurs incroyablement physique.
Effet
Shark Attack peut être un excellent choix pour les personnes souffrant d’insomnie ou d’anxiété, car son utilisation procure une relaxation physique autant que cérébrale, provoquant ainsi un état de somnolence profonde.
Culture
Shark Attack est très facile à cultiver. Presque tous les producteurs, indépendamment de leur expérience et de leur expertise, pourront en tirer le meilleur parti. Shark Attack n’est pas spécialement exigeante et un régime standard devrait donc lui convenir. Sa taille compacte rend inutile de surveiller sa croissance outre mesure et d’utiliser un palissage ou un piquetage pour supporter le poids de ses bourgeons pendant la floraison. Et c’est tout un exploit si nous nous souvenons de ses rendements impressionnants : chaque plante peut atteindre une production de 1 kg de têtes à l’extérieur. Un autre atout de Shark Attack est sa floraison rapide de 55 jours.
C’est une variété qui fait des merveilles avec un nombre accru de plantes au mètres carrée en indoor.
Son talon d’Achille est son manque de résilience à l’humidité. La densité de Shark Attack pourrait en faire un paradis pour les moisissures. Les plantes Indica sont originaires de régions sèches et chaudes telles que l’Afghanistan. C’est de là que vient leur morphologie.
Leur structure épaisse et trapue, avec de larges feuilles, est prête à tirer le meilleur parti du peu d’eau qu’ils reçoivent. Toutefois, cette force se transforme en faiblesse dans d’autres environnements. C’est pourquoi, à la fin de la phase de floraison, en particulier pour une culture d’extérieur dans un climat humide, nous devons faire attention à l’apparition de champignons tels que le botrytis.
Pour la culture en plein air, il est fortement conseillé de récolter avant début octobre dans l’hémisphère nord et en mars dans l’hémisphère sud. Mais, s’il y a eu de fortes précipitations avant cette heure-là, vous n’avez pas d’autre choix que de la surveiller de près.
Avis
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